Chasseuse : un double métier. [PV Ilena]

Je me ne me baladerais pas se soir, bien que la plus part du temps mon job soit légal et à peut prêt approuvé par les lois (en se qui concernes les autres royaumes que celui des vampires, certain comme celui des humains particulièrement n’apprécies pas) ressemble pour moi à une promenade de santé, il a son coté sombre. Ce qui justement me plait. Non je que j’aime tué, je n’y prendrais jamais goût, mais il me permet de rassembler toute information sur les scientifiques ayant assassinés mes parents. Oui ses pourritures (désolé du terme) sont encore en vie. Ils ont prélevé dans le sang des miens non pas la vie éternelle, mais un prolongement non négligeable. Si jamais je les retrouvais . . .
Bref je suis pas ici pour repenser à mon douloureux passé. Il faut que je trouve un labo de recherche du nom de … de … et puis je m’en fiche il est à côté de la cathédrale en pleine ville donc pas question de se faire repérer. Je longe les rues humide et glacial de leur capital. Ils me rappelais celles que j’avais du traversées dans leur monde. Que c’est ignoble là bas ! Les vieux quartier par lesquels je suis passé étaient horribles. Des gens à moitié mort de faim, des familles sans foyer, des personnes âgés seuls sous un vieux pont ou des enfants noircis par la crasse s’amusent dans une maison délabrée menacent de s’écroulé à tout instant. Fin du flache bac. Pourquoi suis-je si distraite se soir ? Maitre Dante . . . Je me demande où est il aller … Je l’ais perdu de vue en voulant le suivre. J’y suis ! Enfin ! Quelqu’un sort de derrière la Cathédral par une porte grise d‘un bâtiment lai qui m‘as tout l‘air d’être se fameux labo. Avec de la chance je pourrais lui soutiré quelques informations sur ce fichu labo. Je la suis dans une petite ruelles adjacentes me faufilant telle un loup traquant sa proie. J’arrive juste derrière elle sort une lame de ma manche et fait un bond de façon à ce que je me retrouve dans son dos le couteau dans le cou. Je l’interroge alors :

-Qui êtes-vous et que savez-vous sur les scientifiques du labo derrière la Cathédrale ?

Messages : 29 Pièces d'or : 5955 Date d'inscription : 07/05/2010

Cela m'embêtait vraiment de devoir aller dans le laboratoire des scientifiques. Depuis la réunion politique, les choses avaient changées. Avant cet incident, les scientifiques travaillaient indépendamment de mes ordres. Mais depuis qu'Erewent m'avait demandé de choisir entre la paix et lui, je l'avais suivi, aveuglée par l'amour que je lui portais. De ce fait, humains et scientifiques s'étaient regroupés pour ne former qu'un clan. Clan que, Erewent et moi dirigions. Et il était de mon devoir, autant en tant que Présidente que chef de clan, d'aller voir comment les recherches sur la magie avançaient. Ce fut donc ainsi que je me retrouvais à errer dans la nuit glaciale.
Oui, j'avais été obligée de voyager de nuit car, selon les ministres et les gouverneurs, je serais moins à découvert, donc plus en sécurité. Pff... saleté de protocole ! J'en avais assez, il fallait l'avouer, de toutes ces manières à mon égard. Mais bon,j'étais présidente, et ce n'était pas un rôle à prendre à la légère...

Je pénétrai dans le laboratoire et arpentait les couloirs. On vient m'accueillir comme il se doit et je pus observer les recherches qui avaient, avouons le, bien avancées. Bien. Si les choses continuaient à
ce train là, il était bien possible que les humains terriens puissent être bientôt dotés de magie...
Après quelques heures passées à discuter des prochaines expériences, je sortis enfin. La nuit était glaciale, et il me tardait de retrouver ma calèche. Alors que je marchais dans les rues pavées et humides, désertes de toute vie humaine ou surhumaine, je crus entendre quelques légers pas furtifs. J'aurais du m'en inquiéter. Mais je ne le fis pas. Et, au détour d'une ruelle, je sentis la présence froide et terrifiante contre mon cou. Une vois féminine et très douce et mielleuse retentit derrière mon dos :

-Qui êtes-vous et que savez-vous sur les scientifiques du labo derrière la Cathédrale ?

Très lentement, je pivotai et me retrouvai face à une très jolie jeune femme, d'une beauté surnaturelle. Une vampire. Et les vampires n'aimaient pas les humains. prise au dépourvue, la seule chose que je pus dire fus :

Savez vous ce que peut vous couter votre geste ? Menace conter la Présidente, c'est une très mauvaise idée.

Mince, je venais de dévoiler mon identité. C'en était fini de moi...

La présidente ! En personne ! Je n’en espérais pas temps. J’allais pouvoir récupérer tout informations que je désirais. Je savais déjà que les scientifiques que je poursuivais changeais de ville continuellement. Seulement j’avais deux avantages :
- Premièrement : arcelet par les autres humains avide de puissance et de longévité ils avaient du fuir à Lirafend dans le royaume des humains.
- Deuxièmement : Je ne suis pas chasseuse pour rien. Qui plus est maitre Dante m’a formé a la perfection.

Seulement deux options s’offraient à moi et se n’es pas moi qui choisira la solution. Soit la Présidante me comprendrais et accepterais dans la gentillesse qui soit disent la caractérisais.
Soit je devrais utilisé la force, ce qui apporterai autant de problèmes au royaume des vampires qu’aux autres. Voir même une guerre de la part des humains . . .

- Écoutez moi je vous pris. Nous n’avons toute deux aucuns intérêts à ce que vous soyez tué. Cela provoquerais chez-vous autre pagaille, rancœur et guerre. Et pour nous déclaration de guerre ou doublement des minis assassina donc votre communauté souffre. Je vous prix Donc d’écoutez mon histoire dans un lieu plus convenable. Je vous demanderais de bien vouloir me suivre, au coin de cette ruelle il y a un salon de thé que j’apprécie particulièrement. Nous serons plus à notre aise pour y discuté. Je connais la patronne elle nous refusera pas malgré l’heure tardive.

Messages : 29 Pièces d'or : 5955 Date d'inscription : 07/05/2010

Du coin de l'oeil, je pus l'observer de plus près. Ses traits pourtant fins étaient à présent crispés, comme si la vampire était en une intense réflexion. J'aurais pu m'en aller, me mettre à courir, dégainer un poignard. j'aurais eu des chances de m'en sortir. Mais je ne le fis pas. Il falait que je garde mon sang froid et que j'écoute ce qu'elle avait à me proposer. Sans doute demanderait elle une rançon... Dans ce cas là, elle finirait sa vie dans les oublietttes sales et malodorantes sous le château, des rats pour seule compagnie. Non vraiment, ce n'était pas franchement fameux comme fin de vie.
A mon grand étonnement, elle finit par répondre :

- Écoutez moi je vous pris. Nous n’avons toute deux aucuns intérêts à ce que vous soyez tué. Cela provoquerais chez-vous autre pagaille, rancœur et guerre. Et pour nous déclaration de guerre ou doublement des minis assassina donc votre communauté souffre. Je vous prix Donc d’écoutez mon histoire dans un lieu plus convenable. Je vous demanderais de bien vouloir me suivre, au coin de cette ruelle il y a un salon de thé que j’apprécie particulièrement. Nous serons plus à notre aise pour y discuté. Je connais la patronne elle nous refusera pas malgré l’heure tardive.

Je la jaugeai du regard. Elle avait l'air étrangement sincère et, attendant ma réaction, une ombre d'inquiétude traversa son regard. Un léger sourire aimable passa sur mes lèvres, presque imperceptible. Elle n eme voulait aucun mal, c'était déjà ça. Elle souhaitait juste s'entretenir. Je pourrais lui révéler quelques informations, pour qu'elle ait la preuve que jamais je n'avais pensé à faire la guerre... Tout état à cause de lui. Je savais que les troupes humaines se forgeaient des armes, en attendant l'affrontement. Cette pensée m'écoeurait, mais tout était de ma faute.
Pour me rattrapper, je devrais faire un geste pour le camp adverse.. Alors pourquoi pas dévoiler quelques secrets concernant les humains ? J'étais la présidente et je savais bien que personne n'allait me reprocher mes actes. C'était un des seuls avantages à être gouvernante. Au moins, personne ne se done la peine de discuter vos propos. Et, finalement, avec calme et douceur, je répondis :

Je vous suis. J'espère qu'ils servent de la bonne viande. Je n'ai pas mangé depuis dix heures, et cette visite au labo m'a donné faim.

Elle me dévisagea encore une fois, méfiante. En même temps comment ne pas se méfié d’une vampire qui avais faille vous tranché la gorge il y a peine deux minutes ? Mais la seule chose que j’apprécie chez les humains c’est qu’ils sont tout aussi imprévisible que nous. À ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir elle me répondit:

-Je vous suis. J'espère qu'ils servent de la bonne viande. Je n'ai pas mangé depuis dix heures, et cette visite au labo m'a donné faim.

Un demi sourire se forma sur mes lèvres. Enfin une humaine sensé.

- La meilleurs que je connaisses. Si vous voulez bien me suivre.(légère révérence)

Mes parents m’ont donné la même éducation qu’une reine de France j’ai donc toujours agi ainsi humain ou pas. Les vampires de la haute société de l’époque trouvais que j’étais un bon parti pour leur fil.
Si seulement je n’avais pas se caractère audacieux et un répondant qui outrageais toute les dames je serais marié à un vampire gosse de riche. (oui sa existe avec les caprices en prime)
En effet à cette époque être une femme égalais à la dernière acquisition d’un homme pour sa demeure. Et elle devait être comme le mobilier : immobile et silencieuse. Bref j’ai toujours gardé précieusement les rudiments de cette éducation un des seules souvenir qui me reste.

Je la guidais donc jusqu’à ce fameux salon restaurant L’intérieur était un peu comme une vieille maison en pierre élégamment décoré sans en faire trop. Evidemment l‘endroit était quasiment vide. Mis à part quelque retardataires qui finissais leur repas. J’allais salué la gérante qui me proposa tout suite ma table favorite. Celle en dessous de la fenêtre qui donnais sur l’arrière cours du petit bâtiment. J’invitais la Présidante à s’assoir tendis que la patronne nous demandas

- Que désirez-vous se soir ?

- Comme d’habitude pour moi Anne. En revanche j’aimerais avoir une carte pour mon amie s’il te plait.

- Je t’apporte sa toute suite.

Je commençais donc le récit de mon passé et du pourquoi j’étais là aujourd’hui à arracher des informations à tout ceux qui pouvaient en avoir. Entre temps Anne nous servi du Earl Grey avec quelques amuse bouche salées ainsi que la carte que je lui avais quémander.

- Vous n'avez plus qu'à choisir je continurais mon récit après. Pour ma part je vous conseilles les plats de pâtes ils en font de très bon.

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- La meilleurs que je connaisses. Si vous voulez bien me suivre.

Elle s'inclina légèrement, en signe de respect. Franchement, j'avais de plus en plus de mal à comprendre pourquoi les scientifiques voulaient faire la guerre. Si les vampires faisaient attention, il était probable qu'ils arrivent à ne pas tuer les humains pour boire du sang. Pour enrichir le royaume, on pouvait très bien ordonner à faire des prises de sang et mettre tous les groupes sanguins ensemble. Et ca ferait des boissons pour les vampires ! Mais non, nous étions très loin de trouver un arrangement dans le genre. Il fallait avouer que ce n'était pas que les scientifiques les fautifs. Les créatures magiques regardaient les terriens comme des martiens, en rejetant toute la faute sur eux. Mais des années auparavant, ce n'étaient pas eux qui avaient ordonné la guerre, mais les dirigeants du royaume magique. Enfin bon, c'était ainsi...

La jeune femme m'emmena à travers un dédale de ruelle avant de s'arrêter en face d'un bâtiment à peu près éclairé. Nous entrâmes donc sans attendre car l'air extérieur était frais, presque glacial pour une brise d'été. L'ambiance était chaleureuse et la lumière tamisée par l'agitation rendait l'endroit un peu plus magique qu'il ne l'était déjà. Des créatures de toutes sortes, fées, vampires, elfes, hybrides et humains discutaient paisiblement, en toute amabilité. Voir ces peuples cohabiter avec tant d'aisance, mieux même, vois ces peuples cohabiter avec joie me serra le cœur. Étais-je donc la seule qui ne connaitrait jamais ce genre de choses? Ah, si seulement j'avais des pouvoirs, je pourrais me joindre à eux...

La gérante nous conduisit à une petite table sous une fenêtre, dans un coin. Tant mieux, personne ne ferait attention à nous. Personne ne me regarda, personne ne me reconnut. Ce n'était pas comme chez les humais où, dès qu'ils me voyaient, ils se sentaient obligés de tirer révérence. La serveuse nommée Anne me donna une carte, tandis que la vampire commençait à me conter son histoire. Apparemment, elle avait été une fille de bonne famille, bonne à marier, mais qui ne l'avait jamais été à cause de son caractère. Amusante histoire. Mais tout cela ne m'expliquait pas vraiment pourquoi elle voulait avoir vent des affaires des scientifiques. Ah, si, elle était au service de Dante. C'était une raison suffisante.

- Vous n'avez plus qu'à choisir je continurais mon récit après. Pour ma part je vous conseilles les plats de pâtes ils en font de très bon.

Ce ne fut que lorsque je voulus la remercier que je me rendis compte qu'elle ne savait de moi que mon rang et c'était tout. Idem pour moi. J reposai la carte et lui souris aimablement.

- Dites moi, je ne sais toujours pas à qui j'ai affaire. Je me présente, Ilena.

Je me replongeai dans le menu avant de continuer :

- Et merci,je vais prendre les pâtes. Hum.. Continuez votre histoire, et je vous donnerai peut-être quelques informations...

Ah ! La présidente qui trahissait en quelque sorte son peuple. Amusant. Je sentais que cette semaine allait être terriblement distrayante...